J'aime savoir que tu rêves de moi au milieu d'une voltige d'hommes dispendieux en semence nourrissante.
Tu m'as même dit que t'être joint à eux pour me gratifier de la tienne en forme d'apothéose et tu sais combien cette seule évocation me fait m'ouvrir comme une fleur.
C'est que mon fondement se régale des pistons virils qui s'y meuvent, a fortiori quand ce sont ceux de gaillards que j'aime ou que j'admire, comme toi.
Alors ne mets jamais de limites à tes rêves du genre si tant est qu'on puisse jamais le faire car l'inconscient se fiche bien des règles.
Continue à m'explorer et me fourrer comme on fourre une pâtisserie et souviens toi combien ma langue jadis posée sur ton intimité que je tenais à pleines mains comme un gros fruit mur a pu te faire frémir, il y a bien des années.
Un jour, la passerelle se créera à nouveau entre le scénario bâti par ton inconscient et le désir de mon corps épais. Ce jour tu jouiras de moi, tu jouiras en moi tout naturellement et nous serons luisants, repus et totalement sereins.
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